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Techniques pour recruter en MLM : Les Secrets des Leaders

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Techniques pour recruter en MLM : Les Secrets des Leaders

#1 Pourquoi avons-nous besoin d’apprendre à recruter ?

Pour beaucoup, le mot “recrutement” peut faire peur. Et si on le rebaptisait pour éviter cette appréhension ? Trop souvent, on s’arrête sur ce mot, presque paralysé. Mais pourquoi ?

Cette résistance vient en partie de notre éducation. Dès le plus jeune âge, on nous martèle une seule voie vers la réussite : avoir de bonnes notes, faire des études, décrocher un emploi stable, travailler jusqu’à la retraite, et, enfin, profiter d’une certaine liberté financière et de temps. Ce schéma est présenté comme une vérité absolue.

Mais personne ne nous apprend à vendre, à construire une entreprise ou à devenir entrepreneur. Pourtant, ces compétences sont indispensables. Peu importe le secteur : savoir recruter, vendre et créer des connexions humaines est vital. Les relations sont au cœur de toute activité.

Comment attirer des clients ? Trouver des partenaires ou recruter les bons collaborateurs ? Même un médecin doit se poser la question : comment faire venir des patients dans son cabinet ?

Recruter, c’est avant tout une histoire d’humain. Comprendre, connecter, convaincre : c’est la clé pour faire grandir n’importe quelle entreprise. Alors, prêt à changer de regard sur le recrutement ?

L’origine de la difficulté de recruter.

Deuxièmement, qu’est-ce qui nous bloque vraiment pour apprendre à recruter ? Eh bien, c’est souvent notre rapport à l’argent.

On ressent de l’anxiété à l’idée de parler aux gens, et parfois, c’est encore plus profond : on se dit qu’on ne mérite pas de créer beaucoup d’argent pour soi-même, ou bien on voit l’argent comme quelque chose de mauvais.

Du coup, on se met à avoir peur d’en gagner. Et comme on associe le recrutement au fait de faire de l’argent, ça nous fait culpabiliser. Pourtant, l’argent n’est pas la racine de tous les maux.

En réalité, l’argent peut faire beaucoup de bien. Il est temps de changer de mindset. Faire venir des gens dans une entreprise, ce n’est pas juste une bonne chose, c’est super positif. Ça leur donne du pouvoir, ça leur permet de créer leur propre richesse, et c’est ça le vrai objectif.

Parce que soyons honnêtes, vous ne pouvez pas aider beaucoup de gens à s’en sortir sans avoir les bons outils et le bon état d’esprit.

Allez, c’est parti !

#2 Qu’est-ce qui est vital en marketing de réseau ?

L’élément clé de n’importe quel business, et surtout du marketing de réseau, c’est de viser à devenir un leader. Ce sont les leaders qui récoltent les plus gros bénéfices. Au final, si tu veux réussir dans cette industrie, il faut vraiment développer cette compétence. Alors, voyons ensemble comment y arriver, avec un objectif clair en tête.

1ère étape : savoir briser la glace.

Lorsque vous avez une première conversation avec quelqu’un, il est important de respecter cette étape. C’est absolument crucial.

Ne parlez pas directement de votre opportunité, de vos produits ou de quoi que ce soit qui s’y rapporte. Concentrez-vous plutôt sur la personne avec qui vous discutez, parce que vous devez briser la glace.

C’est l’étape numéro une.

Vous devez trouver un terrain d’entente avec cette personne, à la recherche de points communs.

Sur Facebook, Instagram ou ailleurs en ligne, trouvez un détail qui vous relie à elle. Cela peut être le chemin par lequel vous en êtes arrivé à découvrir cette personne. Par exemple, vous faites partie d’un même groupe Facebook. Vous pouvez simplement faire référence à un commentaire ou un post que vous avez trouvé.

C’est ce que vous avez en commun qui compte. Vous pouvez donc entamer une conversation basée sur vos points communs.

Un moyen facile de créer un terrain d’entente avec quelqu’un ou de briser la glace est de le complimenter.

Un compliment peut être formulé comme : « J’ai adoré ton post sur XYZ » ou « Je ressens exactement la même chose ». « Qu’est-ce qui t’a amené à ressentir ça ? »

Disons qu’ils ont posté quelque chose sur la Terre et la protection de notre planète. Vous pourriez dire :

« Hé! J’adore votre post sur le fait de devenir plus écologique. Je suis aussi devenue une personne plus consciente et j’essaye de prendre les bonnes décisions dans mon propre foyer pour devenir plus responsable de nos habitudes de consommation et de recyclage. »

Soulevez quelque chose dont ils parlent, sur laquelle ils se concentrent, et c’est ainsi que vous pouvez commencer une conversation avec eux.

Donc, il faut briser la glace. C’est le numéro un, trouver quelque chose en commun, les complimenter. Ça semble basique, mais ne sautez pas cette étape. C’est absolument crucial.

2ème étape : sonder les gens.

Apprenez à en savoir plus sur la vie de vos contacts.

Plus vous en savez sur eux, mieux c’est. Pourquoi ?

Parce que ça vous donne une idée claire de ce qu’ils recherchent ou de leurs besoins les plus importants. Et c’est essentiel de savoir ça, non ?

Si vous ne connaissez pas leurs besoins, comment pourriez-vous vraiment les aider ? Imaginez sauter cette étape et dire directement :

“Hey, j’adore ta chemise ! Laisse-moi te parler de mon business.” Super gênant, non ?

Et puis, on ne sait même pas si cette personne a besoin de ce que vous proposez ! Peut-être qu’elle est multimillionnaire et totalement indépendante. Ou au contraire, peut-être qu’elle galère à boucler ses fins de mois et qu’un petit coup de pouce de 500 dollars changerait tout pour elle.

C’est pourquoi il est important d’apprendre à poser les bonnes questions, de manière naturelle et amicale. L’idée, c’est de mettre la personne à l’aise, de gagner sa confiance et de montrer que vous vous intéressez sincèrement à elle.

Discutez naturellement pour comprendre vos prospects et leurs besoins.

Des informations sur la famille de vos contacts.

« D’où vous venez ? »

« Ah, je vois que vous êtes de la région de Las Vegas, génial ! Qu’est-ce qui vous a amené ici ? Vous avez de la famille ici ? »

Pourquoi poser des questions sur la famille ? Ça peut sembler un peu personnel au début, non ?

Eh bien, voilà pourquoi : en apprendre un peu plus sur leur famille, ou leur situation de vie, peut vraiment vous aider à leur proposer des produits qui leur correspondent.

Par exemple, vous pouvez personnaliser la discussion et faire des recommandations adaptées, selon qu’ils sont célibataires, en couple, ou même fans de fitness. Ces petits détails donnent de super indices sur ce qu’ils pourraient aimer.

Une fois la famille abordée, on passe aux infos sur la profession !

Des informations sur le métier de vos contacts.

« Oh, et toi, tu fais quoi dans la vie ? »

C’est une super question pour lancer une conversation un peu plus intéressante.

« Que fais-tu dans la vie ? » « Je suis chauffeur routier. » « Génial ! Et ça fait combien de temps que tu fais ça ? »

« Ça fait 12 ans que je conduis des camions. » « Wahou, tu dois vraiment aimer ça pour continuer après tout ce temps ! »

Peu importe le métier — chauffeur, prothésiste ongulaire ou autre — demander « Depuis combien de temps tu fais ça ? » ou « Qu’est-ce que t’aimes dans ton boulot ? » peut vraiment briser la glace.

Et là, on découvre souvent des trucs chouettes : un rire, une anecdote, ou parfois une confession genre « Franchement, j’aime pas du tout, mais bon, faut bien payer les factures. » Beaucoup peuvent se reconnaître là-dedans. Ou alors tu tombes sur quelqu’un qui dit : « J’adore mon travail, mais ça paie pas assez. »

À partir de là, c’est une super occasion d’en apprendre plus sur la personne, ses envies, ses projets. Et si la discussion sur le boulot tourne court, pas de souci : demande ce qu’elle aime faire en dehors du taf, c’est toujours un bon plan pour continuer la conversation !

Des informations sur les loisirs.

« Alors, qu’est-ce que tu fais pour t’amuser ? »

« Tu pars en vacances bientôt ? »

« T’es plutôt nature, plage ou voyages à l’étranger ? »

On a tous une idée de ce qu’on aime faire pour se détendre, surtout en famille. Ils voyagent en mode tribu ? Juste à deux ? Ils préfèrent bouger et explorer ou plutôt chiller avec un bouquin ou en binge-watchant Netflix ? Ces petites questions, ça aide à mieux comprendre les gens, leurs loisirs et ce qu’ils mettent en priorité.

Peut-être qu’ils te diront qu’ils adorent les parcs d’attractions : « On y va une fois par an, on aimerait bien plus, mais bon… avec deux semaines de congés, on fait ce qu’on peut. On part en Floride, en Californie, parfois même à Dubaï pour voir la famille. »

Peu importe l’activité ou la destination, savoir ce que les gens aiment faire pour s’amuser, c’est aussi une façon de trouver comment les aider à en profiter encore plus tout en atteignant leurs objectifs.

Des informations sur les motivations.

Notez bien, les questions sur les motivations de vos prospects, ça se pose uniquement à cette étape, pas avant. Pourquoi ? Parce qu’on touche au très personnel. Imaginez qu’on vous dise : « Quelle est votre motivation ? », « Quelle est votre mission ? », « Qu’est-ce qui vous fait sortir du lit le matin ? », « Qu’est-ce qui vous passionne vraiment ? », « Si vous aviez tout l’argent du monde et que vous n’aviez plus à vous en soucier, que feriez-vous de votre temps ? ». Peut-être que vous penseriez aux loisirs, mais qu’est-ce qui vous motive au fond ? Qu’est-ce qui vous excite réellement ? Quel est votre désir le plus profond ?

Vous voyez bien que personne ne va demander ça directement dans la rue, genre :

« Quel est votre désir le plus profond ? ». Les gens vous regarderaient bizarrement et répondraient : « Mais pourquoi vous me demandez ça ? ».

Il faut y aller avec finesse, comme dire :

« Qu’est-ce qui vous motive à faire ce que vous faites ? ».

Certaines personnes ont une motivation liée à une mission plus grande qu’elles, un but ultime, comme par exemple, élever la conscience responsable de la planète. Leur mission peut nous en dire beaucoup sur leurs objectifs.

Alors, quel est votre objectif final ? Parce qu’il y a une vraie différence entre les objectifs qu’on se fixe, comme la retraite universitaire, et celui qu’on poursuit vraiment, comme la liberté.

#3 Après quoi les gens courent-ils ?

Oui, on pourrait dire qu’il y a un but universel.

Au fond, le but ultime, c’est d’avoir assez d’argent pour pouvoir passer son temps à faire ce qu’on aime vraiment.

On a quasiment tous le même objectif final, mais on se perd souvent dans les moyens, dans le processus pour y arriver. Alors, pose-toi cette question : c’est quoi ton but à toi ? Parce qu’en général, ce qu’on veut, c’est juste avoir assez d’argent pour être libre de son temps. Beaucoup de gens répondent : « Gagner plus d’argent, pouvoir investir, voyager… » Et toi, quels sont tes objectifs ?

Une fois que tu sais ce que tu veux, il faut réfléchir à un plan pour y arriver. « C’est super si tu veux changer le monde ou faire des dons. » Mais la vraie question, c’est : comment tu comptes le faire ? Le plan, c’est ça la clé.

Donc, quel est votre plan ?

Imaginons que votre contact dise :

« J’adore les parcs Disney. » Vous lui demandez : « C’est quoi ton plan pour y aller ? » La plupart du temps, il vous répondra un truc du genre :

« Je travaille, j’économise, j’essaie de ne pas avoir une urgence qui ruine tout ce que j’ai mis de côté. » C’est classique, non ? Tout le monde a ce genre de plan.

Là, vous pouvez glisser une transition simple :

« Et si je pouvais te montrer un moyen d’avoir un autre plan, qui te permettrait d’y aller plus vite ? Tu serais curieux de jeter un œil à ça ? »

C’est comme ça qu’on amène les gens à vouloir en savoir plus. En creusant sur leur vie, en comprenant ce qui les motive. Prenez le temps d’apprendre à connaître la personne. Nos prospects, ce ne sont pas juste des cibles, ce sont des humains.

L’idée, ce n’est pas de leur vendre quelque chose dont ils ne veulent pas ou n’ont pas besoin. On parle uniquement à ceux qui ont un désir ou un besoin. Sans ça, c’est compliqué de les intéresser à ce qu’on propose.

#4 Savoir se présenter en créant un impact.

Utilisez une façon simple et naturelle de vous présenter.

C’est super utile quand quelqu’un vous demande ce que vous faites dans la vie. Et souvent, ça arrive, parce qu’on a tendance à poser la question en retour.

C’est un réflexe social. Vous savez, comme quand on dit : « Bonjour ! » « Ça va ? » « Oui, et toi ? »

C’est pareil avec : « Que faites-vous dans la vie ? » « Oh, je suis professeur. » « Génial ! »

Mais imaginez qu’on vous demande : « Et vous, que faites-vous dans la vie ? »

Il faut être prêt à répondre. Avoir une réponse claire et directe, déjà prête.

Parce que si vous hésitez ou si vous êtes trop vague, vous risquez de donner une mauvaise impression.

Imaginez dire : « Oh, je suis euh… dans une entreprise, enfin… vous voyez, un truc où les gens au sommet gagnent beaucoup d’argent… »

Ou encore : « Je travaille dans un truc où on reste à la maison. »

Ce genre de réponse floue peut faire lever des sourcils, et là, vous risquez de perdre l’attention de votre interlocuteur. Les objections arrivent, et vous voilà en train de ramer pour essayer de sauver la conversation.

C’est pour ça qu’il vaut mieux avoir un script simple et professionnel.

Par exemple, évitez des phrases comme : « J’aide les gens à gagner un revenu supplémentaire depuis chez eux. »

C’est trop vague, et si vous parlez à quelqu’un avec un métier très spécifique, comme chauffeur routier ou enseignant, ça ne passera pas bien.

Soyez clair, soyez précis, et surtout, soyez confiant.

Utilisez le métier de votre prospect.

Prenons ces professions comme exemples.

« J’aide les chauffeurs routiers à gagner un revenu supplémentaire pendant qu’ils sont sur la route. » Simple, clair, et ça capte l’attention !

Adapter son discours au métier de la personne en face, c’est clé. Souvent, ça déclenche une réaction du type : « Sérieusement ? Comment ça marche ? ».

L’idée, c’est de se concentrer sur ce dont les gens ont vraiment besoin ou envie, et de leur montrer une solution claire et adaptée pour les aider à atteindre leurs objectifs.

Mais attention, si on passe trop de temps à parler des détails techniques, on risque de perdre leur intérêt.

Par exemple, pour un enseignant vacataire, on pourrait dire : « J’aide les enseignants à gagner un revenu supplémentaire pendant les mois d’été quand ils ne sont pas payés. »

Adaptez votre message au métier ou même au lieu de résidence de la personne, et vous êtes sûr de marquer des points !

Faites référence à bien plus grand que vous.

Une option numéro deux est de dire : « Je me suis récemment associé à une entreprise de 100 millions de dollars par an qui est spécialisée dans l’aide aux gens pour créer une liberté de temps dans leur vie. »

C’est un peu de la vantardise, en s’appuyant sur une entreprise comme si il ne s’agissait plus d’une personne mais d’une entité avec laquelle il y a un partenariat. Cela fait référence à quelque chose de plus grand et de plus important.

Les mamans à la maison.

Le numéro trois est : « Je suis spécialisée dans l’aide aux mères de famille à la maison. » Les mamans peuvent obtenir une rétribution. Certaines personnes n’ont pas d’occupation en ce moment.

#5 Jouer aux échecs avec vos prospects.

Ensuite, vous devez attendre leur réponse.

Ce n’est pas le moment de monopoliser la conversation en disant : « Laissez-moi vous parler de ma compagnie. Laissez-moi vous parler de mes quatre piliers du succès et pourquoi c’est génial. » Et non ! Ils ne sont pas prêts, nous allons attendre leur réponse.

Patience ! Ce qu’ils vont dire ensuite va orienter telle ou telle réaction de votre part. C’est un jeu d’échecs, pas de dames. C’est un jeu d’échecs, donc une fois qu’ils ont réagi, on attend de voir où ils veulent aller. Ils vont réagir de deux manières différentes : soit avec une réponse positive, soit avec une réponse négative.

La réponse positive est du genre : « Wow ! Cela semble incroyable. » « Comment avez-vous su que je suis un professeur qui a besoin d’un revenu supplémentaire ? » « Comment on se rencontre ? C’est génial ! » « J’ai besoin d’en savoir plus. Dites-moi ce que vous faites ou comment je peux le faire. » Voilà une réponse positive.

Une réponse positive vous conduit à poser cette question :

« Si je pouvais vous montrer comment créer une source de revenu supplémentaire tout en faisant ce que vous aimez, seriez-vous ouvert à apprendre comment faire cela ? »
Donc, quand vous leur demandez : « Êtes-vous ouvert à comment apprendre un moyen d’y arriver ? » C’est une option.

Au contraire, ce qui n’en est pas une, auprès d’un prospect froid : « Je vous inscris dans mon opportunité, vous avez une carte de crédit ? » On ne se précipite pas là-dessus.

Êtes-vous ouvert à … ? Tout le monde est ouvert à.

Ce qui est mieux : « Êtes-vous entièrement ouvert quand il s’agit d’atteindre vos objectifs ? » « Alors, gardez-vous l’esprit ouvert sur la façon dont vous allez atteindre ce but ? » Ou « Est-ce que la façon dont vous le faites est la seule façon d’y arriver ? »

#6 Comment traiter les objections ?


Parlons des objections, disons que vos contacts vous donnent une réponse négative. Trois étapes à retenir lorsque vous traitez une objection.

Connexion.

« Je comprends ce que vous ressentez »

Établissez une connexion émotionnelle pour montrer que vous comprenez leurs sentiments plutôt que d’essayer simplement de les convaincre.

Validation.

« Les sceptiques ont une place légitime dans ce processus, car leur regard critique permet de poser les bonnes questions et de prévenir les excès ou les erreurs potentielles. »

Projection.

« Ce que j’ai découvert, c’est que mes excuses et mes objections devenaient la raison exacte pour laquelle j’avais besoin de me lancer. » Cette réflexion les projette dans un futur où ils décident de démarrer.

#7 Quatre types d’objection.

L’argent.

« Quelle est l’obligation financière pour cette activité ? »

« Combien d’argent ça va me coûter ? »

« Combien dois-je payer chaque mois ? »

« Combien dois-je investir ? »

Réponse possible :

« Eh bien, je suis content que tu me le demandes. »

Réponse :

« Ok, très bien ! Eh bien, ça dépend de tes objectifs. Si tu n’as pas de grands objectifs, ça ne va pas te coûter beaucoup d’argent du tout. Si tu as de grands objectifs, ça peut te coûter un peu plus d’argent parce que ça dépend de la vitesse à laquelle tu veux atteindre ces objectifs. »

Cela dépend donc des objectifs.

« Il y a des moyens de maximiser les résultats attendus d’un potentiel de rémunération. Et il y a une option pour travailler à s’accomplir vers les plus hauts objectifs. »

« Tout cela est donné par une visite guidée en ligne de notre site. Voulez-vous y accéder maintenant ou après notre conversation téléphonique ? »

Il est important d’éviter certains mots comme « présentation » pour ne pas susciter d’idées préconçues négatives. Les termes comme home business ou travail à domicile sont également à éviter, car ils peuvent être perçus comme des arnaques. Un vocabulaire bien choisi est donc essentiel.

Le temps.

« Eh bien, je ne sais pas si j’ai le temps. »

Réponse possible :

« Je comprends ce que vous ressentez et ce que j’ai découvert, c’est que ce business m’a aidé à mieux organiser mon temps. »

« Je ne pense pas que mon épouse va aimer ça. »

Réponse possible :

« Je comprends ce que vous ressentez, et il est fréquent que des proches finissent par soutenir ce genre d’initiative lorsqu’ils voient les résultats. »

L’incertitude

Il s’agit de : « Et vous, combien vous gagnez ? »

Ces prospects veulent une preuve du potentiel financier de ce que vous proposez.

Une réponse efficace peut être de s’appuyer sur l’exemple d’un leader expérimenté qui réussit dans ce domaine : « Je travaille avec cette entreprise et je suis encadré par [le nom de votre leader]. »

L’idée est de raconter l’histoire de ce leader et d’amener le prospect à accepter une discussion avec lui.

L’objection pyramidale.

La plupart des gens ne savent pas faire la différence entre vendre en réseau, chaîne de Ponzy et système pyramidal.

Notre métier est parfaitement légal. Vous devez être confiant en cela. Il suffit de répondre très rapidement et de passer à autre chose. Cela dit, vos prospects peuvent revenir là-dessus, parce que vos réponses ne les satisfont pas.

Du coup, d’autres objections tombent :

« Je ne veux pas être dans un MLM. »

« Je ne veux pas recruter des gens sous des gens. »

« Je ne suis pas bon en vente. »

« Je ne me vois pas essayer de vendre à mes amis et à ma famille. »

« L’industrie du marketing de réseau est plutôt gigantesque, aussi grande que l’industrie du luxe. » La différence avec d’autres modèles commerciaux est que cette entreprise paie des personnes ordinaires pour faire passer le mot, au lieu d’investir dans des publicités traditionnelles comme la télévision, la radio, les médias ou les panneaux d’affichage. Comme Uber utilise des taxis qui ne lui appartiennent pas, et AirBnB des logements qu’il ne possède pas, ce modèle repose sur les réseaux relationnels de ses distributeurs.

#8 Les incontournables appels à trois !.

Raconter l’histoire de ce leader est une chose. Il faut aussi mentionner la difficulté d’obtenir un moment dans son agenda avec lui. Dire par exemple : « Il a aidé à créer plusieurs millionnaires, il est très sélectif quant aux personnes avec lesquelles il travaille, mais si vous voulez sérieusement créer votre propre entreprise ou gagner un revenu supplémentaire – et que vous voulez apprendre des meilleurs – je suis sûr qu’il vous aidera aussi. » Et d’ajouter : « Quand êtes-vous disponible pour une brève discussion ? » Cela consiste à organiser un appel téléphonique à trois : le leader, votre contact et vous-même. Les équipes qui développent une culture des appels à trois avancent plus vite que les autres. Vous devez systématiser le recours aux leaders pour motiver vos contacts à passer à l’étape supérieure.

Et ce n’est pas tout…

Ne donnez jamais tous les détails de votre opportunité lors d’un premier échange. Prenez un rendez-vous pour cela, afin que votre contact ait prévu un moment pour se poser et écouter. La présentation de l’opportunité d’affaires peut prendre le format d’une vidéo à visionner.

Il est recommandé d’avoir la personne au téléphone juste avant ce visionnage. Les gens doivent sentir votre énergie et ressentir votre sincérité. N’envoyez jamais un lien cliquable sans avoir obtenu la permission de le faire, sans quoi vous risquez de mettre la pression à vos contacts. Enfin, ces enseignements peuvent être approfondis avec des formateurs professionnels francophones.

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